Julie Faubert
Le regard, que l’on imagine facilement comme un jet, comme une ligne traçant sa puissance entre deux points, m’apparaît comme un ancrage.
Une attache au lieu par des dimensions inédites, multipliées, qui se recouvrent, s’emmêlent, se confondent.
Ici, le son – je l’espère – dilaterait le regard.
propositions vidéographiques et sonores